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PRO VELO Valais Wallis

PRO VELO Valais Wallis

L’association pour la promotion de la mobilité cyclable quotidienne et la défense des cyclistes en Valais.

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1 janvier 2025

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Pourquoi le vélo ?

14 décembre 2024

En enfourchant votre vélo, sans vous en rendre compte, vous vous transformez en super-héroïne/héro, qui lutte contre la pollution, le réchauffement climatique, les problèmes de santé publique, qui diminue le risque d’accident et qui améliore la qualité de l’espace public. Franchement, BRAVO et MERCI, continuez comme cela !

Pourquoi le vélo est fantastique

Le vélo est un moyen de transport extraordinaire! Saviez-vous qu’en termes énergétiques, l’espèce animale qui se déplace le plus efficacement sur cette planète est simplement un être humain sur un vélo? Aucune autre espèce et aucun autre véhicule n’est capable de faire mieux !

Le vélo est situé tout en bas de ce graphe, indiquant qu’il est le moyen de transport le plus économe connu sur cette planète (en nombre de calories dépensées par gramme et par kilomètre parcouru). C’est également un moyen de transport léger, n’augmentant que très peu le poids de la personne qui se déplace. Le vélo est donc un champion de la sobriété!

Même s’il paraît simple, le vélo est donc une invention extraordinaire ! Pour s’en convaincre et pour se rendre compte de toutes les améliorations dont ce véhicule a bénéficié depuis son appariation il y a plus de 200 ans, le mieux est de regarder cette courte vidéo :

Mais pourquoi tout le monde roule en voiture alors?

Malgré ces avantages, force est de constater que le vélo reste un moyen de transport minoritaire en Suisse, alors que la voiture est très largement utilisée.

En effet, la voiture est vue comme moyen plus efficace de mobilité, plus rapide et pouvant transporter une charge plus importante que le vélo. Grâce à une politique qui a investi des sommes considérables pour favoriser le développement d’un réseau routier imposant, la voiture est rapidement devenue un moyen de transport incontournable dès la sortie de la 2ème guerre mondiale. Et ceci en défaveur des mobilités actives, marche et vélo.

Evolution de la répartition de la part modale de différents modes de transport en Grande-Bretagne. L’utilisation du vélo (en vert) à fortement diminué au profit de la voiture (en rouge) à la sortie de la 2ème guerre mondiale.

La voiture a connu un tel succès qu’elle est devenue aujourd’hui un réflexe, avec pour conséquence d’être utilisée même pour des trajets très courts. Les statistiques en Suisse montre que la voiture devient le mode de transport le plus choisi pour des boucles supérieures à 3 km !


Cette faible part modale du vélo s’explique par des d’infrastructures inadaptées pour les cyclistes, qui se retrouvent contraints à partager la route avec des véhicules beaucoup plus larges, lourds et rapides qu’eux. Ce manque de sécurité pousse inévitablement les gens à laisser leur vélo au garage et à utiliser leur voiture à la place, même pour les trajets courts.

Selon le guide vélo, la grande majorité des Suisses seraient intéressés par des déplacements en vélo, mais n’osent pas franchir le pas pour des raisons de sécurité.

Le potentiel du vélo est donc énorme en Suisse !

Les limites du tout à la voiture

Pourtant, notre système de transport qui mise largement sur la voiture, montre ses limites. Celles-ci deviennent de plus en plus évidentes dans un contexte de changement climatique, de sédentarité, de coupes budgétaires et de manque d’espace.

Mais bonne nouvelle, les nombreux avantages qu’offrent le vélo proposent une réponse efficace à toutes ces problématiques !

Le climat

En Suisse, les émissions CO2 ont diminué de 20% en 30 ans. C’est bien, mais encore largement insuffisant. Parmi tous les secteurs émettant des gaz à effet de serre, celui des transports est celui qui a fait le moins d’efforts, sa part grimpant de 27 à 32% durant ce laps de temps.

Le vélo, même électrique, offre ici une solution de déplacement qui n’émet quasiment aucun gaz à effet de serre, comme le montre le calculateur de l’ADEME.

La santé

L’OMS tire la sonnette d’alarme sur la hausse de l’inactivité physique – la sédentarité – qui touche 1/3 des adultes, un chiffre en hausse de 5 % par rapport à 2010.

Selon cette organisation, l’inactivité physique est l’un des principaux facteurs de risque de mortalité liée aux maladies non transmissibles. Les personnes ayant une activité physique insuffisante présentent un risque de décès supérieur de 20 % à 30 % à celles qui sont suffisamment actives.

L’inactivité physique est une menace silencieuse pour la santé mondiale.

L’OMS

Évolution séculaire de l’activité physique quotidienne en France.
Source: IRMES (Institut de Recherche bio-Médicale et d’Epidémiologie du Sport)

L’OMS recommande donc 300 minutes d’activité physique par semaine. Elle permet de réduire le risque de mortalité toutes causes confondues ainsi que les risques de mortalité par maladie cardiovasculaire, d’hypertension, de cancers, de diabète de type 2 et de chutes. De plus, elle améliore la santé mentale, la santé cognitive, le sommeil et la masse adipeuse.

Rapporté au vélo, cela représente grosso modo 15 km parcourus par jour, ce qui est un distance tout à fait réalisable.

Et à ces bénéfices peuvent se rajouter d’autres liés à la baisse du risque d’accidents graves. Les vélos, étant moins rapides et moins lourds que les voitures, sont par définition moins dangereux que ces dernières. Une collision avec un cycliste roulant à 20 km/h est 100x moins dangereuse qu’avec une voiture roulant à 55 km/h.

L’énergie contenue dans un véhicule en mouvement, et qui représente donc la dangerosité en cas de collision, est proportionnelle à la masse du véhicule, mais aussi au carré de la vitesse. Lorsque celle-ci double, l’énergie est quadruplée.

L’argent

A cause d’infrastructures très onéreuses à construire et à maintenir, d’effets négatifs sur la santé, de bouchons, et de nombreux accidents, le trafic individuel motorisé coûte très cher à la collectivité. Il est important de noter ici que la grande partie des ces coûts, qu’ils soient directs ou indirects, sont portés par l’ensemble de la collectivité. En effet, les taxes sur les voitures et l’essence n’en couvrent qu’une petite partie. Sans oublier que le fait de posséder une voiture implique des dépenses importantes pour les ménages, en moyenne 1000 CHF par mois et par véhicule, selon le TCS.

Au contraire, le vélo rapporte de l’argent à la collectivé, notamment en réduisant les bouchons, les frais liés à la santé et aux accidents, et les frais de construction et d’entretien du réseau. C’est ce que montre une étude au Bénélux. Chaque km parcouru en vélo rapporterait plus d’un euro à la collectivé, tandis que chaque km parcouru en voiture en couterait un.

Autre exemple tout autant parlant. Selon, Stein van Oosteren, auteur du livre « Pourquoi pas le vélo?« , les Pays-Bas investissent 500 millions d’euros par an dans leurs infrastructures cyclables, et estiment que cela leur rapporte une économie en termes de coûts de la santé de 19 milliards d’euros par an (soit 3% du PIB). Joli retour sur investissement !

L’espace public

Nous avons tendance à l’oublier (la faute à la motonormativité !), mais l’espace public est occupé à 60% pour le trafic motorisé. Cela signifie que la grande majorité de ce bien commun est rendu dangereux, bruyant, polluant, et inaccessible à beaucoup de gens, notamment aux enfants, tout cela au bénéfice de la voiture !

Illustration de l’artiste suédois Karl Jilg

Cela est dû au fait que la voiture est le mode de transport le moins efficace en termes d’utilisation de l’espace. Cela peut paraître paradoxal, mais en ville, la voiture nécessite environ 10x plus de surface que le vélo ou la marche, pour un flux de transport similaire (le flux correspond au nombre de passages par heure). La voiture apparait donc comme un moyen de transport presque aberrant en milieu urbain, sachant que sa vitesse moyenne y est similaire à celle du vélo (voire légèrement plus faible).

Source : National Association of City Transportation Officials


Il est possible d’inverser la tendance, et des politiques allouant plus d’espace aux mobilités actives ont démontré leur efficacité à retrouver un espace public de qualité, avec moins de pollution, de bruit, de stress et plus de place pour la vie sociale!

Exemple de transformation de l’espace public à Vienne. Dans quelle rue voudriez-vous habiter?

Du bonheur !

Si vous demandez aux cyclistes du quotidien pour quelle raison il ont choisi ce mode de transport, la réponse que vous entendrez ne sera certainement pas un des points évoqués plus haut. La réponse sera certainement celle-ci : « La pratique du vélo rend simplement heureux !« . Ce qui est totalement vrai, nous confirmons ce point!

Notre vision de la mobilité

Pour toutes ces raisons, nous sommes persuadés qu’en faisant de notre but la défense et la promotion du vélo comme moyen de transport à part entière, nous ne rendons pas uniquement service aux cyclistes, mais également à toute la collectivité, qui retrouvera un mode de vie plus respectueux de l’environnement et de leur santé, moins cher, plus sobre, et avec une qualité de l’espace public grandement améliorée!

Nous militons donc pour des politiques favorables au vélo, qui incluent le développement d’infrastructures cyclables efficaces, continues et sécurisées, et qui favorisent le transport intermodal (vélo et transports en commun). Et pour ce faire, il n’y pas de miracle, de l’espace doit être repris là où il est disponible, c’est-à-dire à la voiture.

Sans bien sûr vouloir interdire cette dernière, puisque le transport motorisé reste dans certains cas le moyen plus approprié. Mais l’utilisation de la voiture ne doit plus être un réflexe pour n’importe quel déplacement.

Si vous aussi vous partagez cette vision, si le vélo vous rend heureux et que vous voulez en faire profiter un maximum de personnes, n’hésitez pas à soutenir notre association en cliquant sur le bouton ci-dessous!

Je veux soutenir PRO VELO Valais/Wallis !

Que faire en cas d’accident?

9 décembre 2023

Vous avez un accident et ne savez pas quoi faire? On vous guide!

AU MOMENT DE L’ACCIDENT

  1. Alerter: appeler la police (en cas de dommages corporels ou de désaccord entre les parties), exiger les coordonnées de toutes les parties prenantes.
  2. Dommages matériels : noter l’immatriculation et l’assurance RC de la personne ayant occasionné l’accident, remplir un constat européen d’accident.
  3. Déposer plainte: même après avoir reçu une confirmation écrite de la responsabilité.
Une plainte peut être déposée jusqu’à 3 mois après l’accident. Prenez impérativement le temps de la réflexion, indépendamment de l’avis de la police !



APRÈS L’ACCIDENT

  1. En cas de douleurs, consulter un médecin (même si apparition après l’état de choc). Demander un certificat médical et documenter les blessures.
  2. En cas de responsabilité pas clairement établie, demander par écrit le rapport de police auprès du Ministère public
  3. Demander une reconnaissance de responsabilité complète auprès de l’assurance RC de la personne ayant occasionné l’accident (si responsabilité complète lui incombe).
  4. Annoncer l’accident : employeur, assurance-accidents ou, le cas échéant, caisse maladie ou ORP.
  5. Lister les dommages/positions pour l’assurance (véhicule, perte de gain, aide, etc.), en conservant les justificatifs.
  6. Contacter RoadCross et PRO VELO Valais/Wallis.

BESOIN D’AIDE?

CONTACTE-NOUS !

ROADCROSS
PRO VELO



En collaboration avec :

Omnium Romand de Cyclocross

21 septembre 2021

L’Omnium Romand de Cyclocross est une association regroupant plusieurs courses de cyclocross par année. Cela est, en quelques sortes, le circuit romand de cyclocross.

Chaque année, plus d’une centaine de coureurs, toutes catégories confondues, se disputent la victoire sur chaque manche. Tantôt dans la boue, dans la neige, sur terrain sec, l’omnium omand propose des manches diverses et variées et sur tout le territoire suisse romand.

Ces grâce à cette association que l’on peut voir aujourd’hui des coureurs romands participer à des courses internationales, aux championnats du monde et aux championnats d’Europe. Loris Rouiller et Gilles Mottiez, pour ne citer qu’eux, sont issus de l’Omnium Romand de Cyclocross.

Mais cette association n’est pas que cela, c’est également des entraînements réguliers en amont de la saison de cyclocross ouvert à tous, afin de pouvoir améliorer ses qualités techniques en bénéficiant de l’encadrement de moniteurs expérimentés.

Retrouvez plus d’informations ci-dessous :  

Omnium Romand de Cyclocross

Debons Guérin

SuisseMobile

25 août 2021

SuisseMobile est un réseau de cartes et d’itinéraires axés sur la mobilité douce. Les différents parcours proposés par Suisse Mobile s’effectuent à la marche, à vélo ou encore en rollers. Le service, proposé gratuitement, est géré par l’Association SuisseMobile et se décline en diverses interfaces : cartes physiques, site internet et application mobile. En plus des itinéraires proprement dits, on y trouve des photos et des recommandations de visites historiques et culturelles des régions traversées. Le service renseigne également le voyageur sur les possibilités d’hébergement ou sur les horaires des transports publics, y compris des bateaux.

La carte ci-dessus détaille les différents itinéraires cyclistes de Suisse.
En rouge, l’étape du jour : le Chemin des vignobles entre Martigny et Loèche.
Crédit : www.schweizmobil.ch

SuisseMobile répertorie également, en partenariat avec le Club alpin suisse, des itinéraires de randonnée alpine hivernale, d’alpinisme et de via ferrata. On trouvera par ailleurs sur leur site les informations relatives aux diverses manifestations « Slow Up » de Suisse.

Enfin, en complément de ce service, il est possible de souscrire un abonnement payant à SuisseMobile Plus qui permet, à travers l’application mobile, de sélectionner et d’enregistrer ses propres itinéraires, d’en exporter les données GPS et qui offre un accès hors connexion pour plus de flexibilité.

A gauche, une vue topographique de la Rheinwald Route, qui effectue une boucle autour du village de Splügen dans le canton des Grisons. A droite, les lieux d’intérêts proposés par SuisseMobile aux abords du parcours. On nous recommande notamment une halte rafraîchissant aux Gorges de la Roffla.
Crédit : www.schweizmobil.ch

Pour en savoir plus :

Site internet de SuisseMobile :

SuisseMobile

Application SuisseMobile :

IOS
Android


Jorick Aymon

Association transports et environnement – ATE

12 août 2021

« Pour une mobilité d’avenir » : telle est la devise de l’Association transports et environnement (ATE). C’est donc tout naturellement que l’association, fondée en 1979, s’engage activement en faveur d’une politique  de soutien à la mobilité douce et aux transports publics.

Portrait

L’ATE voit le jour à Herzogenbuchsee, dans le canton de Berne, en mai 1979 sous le nom d’Association suisse des transports. Elle deviendra l’ATE en 1991 ; le nom allemand, lui, ne sera pas modifié.

Au cours de ses premières années d’existence, l’association s’engage principalement sur deux axes : d’une part, la promotion de la mobilité douce avec notamment la publication de cartes d’itinéraires à vélo, d’autre part, elle réclame des mesures visant une réduction du trafic motorisé, notamment dans les zones résidentielles : son engagement participera notamment à la création des fameuses « zones 20 » favorisant piétons et cyclistes bien connues de nos jours. En parallèle, elle lance une initiative populaire intitulée « Initiative pour une juste imposition du trafic des poids lourds », qui sera refusée par près de deux tiers des votants en 1986.

Les neuf membres fondateurs de l’association réunis à Herzogenbuchsee, 15 mai 1979.
Crédit : ATE

Les années 90 sont marquées par le succès de l’Initiative des Alpes, soutenue par l’ATE, visant  à réduire les nuisances dues notamment au trafic de poids lourds en inscrivant la protection des Alpes dans la Constitution. 51.6% des votants et une majorité de cantons adhèrent à l’idée.

D’autres avancées majeures auront lieu au tournant du siècle : on assiste ainsi, en 1999, au déploiement des premières lignes Pédibus en Suisse romande tandis qu’en 2002, les premières zones de rencontres limitées à 20km/h voient le jour.

Engagements

Aujourd’hui encore, l’ATE, qui possède désormais son siège à Berne, se mobilise en faveur de la promotion de la mobilité douce.

Disposant de sections cantonales à travers toute la Suisse et jusqu’au Liechtenstein, elle s’engage aussi bien sur des thématiques nationales, comme la pétition lancée contre la réservation obligatoire pour les vélos dans les trains ou le soutien à l’initiative pour les glaciers, que sur des projets à caractère régional. Ainsi, l’ATE Valais est en première ligne pour soutenir le percement du deuxième tube du Lötschberg entre autres exemples. En outre, l’ATE Suisse organise régulièrement des conférences et autres colloques sur différentes thématiques et publie un magazine mensuel. L’ATE a soufflé en mai 2019 ses quarante bougies.

Magazine ATE, mai 2021.
Au programme : Soutien à la
Loi sur le CO2, conseils pour vélos électriques et portrai
d’une jeune activiste climatique.
Crédit : ATE.

Pour en savoir plus 

Site de l’ATE Suisse  :

ATE Suisse

Site de l’ATE Valais  :

ATE Valais

Jorick Aymon

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