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PRO VELO Valais Wallis

PRO VELO Valais Wallis

L’association pour la promotion de la mobilité cyclable quotidienne et la défense des cyclistes en Valais.

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Actualités

Sierre: histoire d’un postulat

8 mars 2024

La ville de Sierre, idéalement située entre vignes et montagnes, empreinte d’histoire, d’authenticité et de terroir, ne manque pas d’atouts. Pourtant, une ombre plane sur la cité du soleil, celle de la mobilité.

En effet, les infrastructures en place favorisent une mobilité essentiellement motorisée. C’est bien dommage car un encouragement de la mobilité douce permettrait d’améliorer la qualité de vie sierroise, en diminuant le bruit, l’insécurité, les émissions de CO2 et de pollution, tout en offrant un espace public de meilleure qualité. 

Des plans vélos ont bien été mis en place en 2009 et 2014 (mais sans être consultables) et 15 ans après, le constat reste sombre: le réseau cyclable est lacunaire (comment p. ex. rejoindre l’Ecoparc, l’hôpital et l’EDHEA, Denner à Granges ?) et mal conçu, et très peu de gens s’y risquent à vélo. Si la mobilité douce veut être encouragée, un réseau sûr, continu, efficace et attrayant doit être mis en place (www.guide-velo.ch).

Dangereuse réinsertion de la piste cyclable avant le rond-point
Parc à vélo n’offrant aucun point fixe d’attache (non conforme)
Marquage au sol d’un autre temps
Espace insuffisant pour les remorques
Bande cyclable frôlant les bus à l’arrêt, très insécurisant
Bande cyclable pas suffisamment éloignée des voiture parquées
Voici les recommandations d’accès à l’Ecoparc de Daval données par la ville de Sierre, uniquement en voiture, bien que situé à 400 m. des berges du Rhône. source : https://www.sierre.ch/data/documents/entreprise/implantation/Plandaccs.pdf, consulté le 5 mars 2024


Durant une courte rencontre organisée avec la commission mobilité (voir la présentation) constituée de conseillers municipaux et du service technique, les raisons de ce retard en matière d’infrastructures cyclables ont été avancées : les projets sont compliqués, imbriqués les uns dans les autres, et doivent prendre en compte une multitudes de contraintes technico-légales. PRO VELO a l’habitude d’entendre ce type d’excuses et reconnaît que les projets en lien avec la mobilité ne sont jamais simples. En revanche, ces difficultés techniques ne peuvent pas être utilisées pour justifier un quelconque retard, puisque toutes les villes suisses évoluent dans le même cadre législatif, tandis que certaines ont développé un réseau cyclable si performant que plus de trajets s’y effectuent en vélo qu’en voiture (comme à Bâle).

Un tel développement doit donc venir d’une volonté politique forte, qui doit considérer la mobilité douce sur le même plan que la mobilité motorisée, et non comme un simple loisirs (relire l’article sur la part modale en Valais). Fort de ce constat et de son expérience, PRO VELO Valais/Wallis, via son groupe de travail local, a décidé d’interpeller le monde politique sierrois sur cette question.


Une autre rencontre a été organisée avec le conseil général et municipal sous la forme d’une balade à vélo, qui a permis de mettre efficacement en lumière les difficultés rencontrées par les cyclistes pour se déplacer à Sierre (voir la présentation).

Cette rencontre s’est concrétisée par un postulat signé par tous les partis représentés, et accepté par la majorité du conseil général lors de la session plénière du 28 février 2024.

Relire l’article du Nouvelliste du 05.03.2024


Ce postulat ne demande finalement pas grand chose à la municipalité sierroise, si ce n’est qu’il définit une façon efficace de travailler sur cette problématique, et qui a déjà été éprouvée dans d’autres villes valaisannes:

  • Réactualisation de la stratégie vélo qui est devenue vieillissante, tout en y intégrant des objectifs transparents et quantifiables,
  • Développement d’un axe cyclable est-ouest à Sierre,
  • Intégration dans cette réflexion de toutes les parties prenantes pertinentes, tels que le service de la mobilité du Canton, ainsi que des représentants de la mobilité piétonne et cycliste.

Désormais, la balle est dans le camp du conseil municipal, qui a 6 mois pour formuler une réponse. Espérons donc que la politique sierroise reconnaisse enfin la légitimité et les besoins du vélo en tant que mode de transport, et qu’elle s’aligne ainsi sur les volontés fédérales et cantonales en matière de mobilité (relire l’article sur le retrait de l’initiative cantonale). Les communes ont un rôle prépondérant à jouer dans le développement d’un réseau cyclable du quotidien, tout comme les associations, comme décrit dans la récente stratégie cantonale mobilité douce 2040.

Engage-toi !

Fais partie du groupe régional de Sierre !

La Rustination – l’atelier pour réparer ton vélo

2 mars 2024

Le samedi 2 mars, un nouvel atelier participatif de réparation de vélo a été inauguré à Sion.

L’atelier s’inscrit dans un concept d’économie circulaire et dans un cadre chaleureux et participatif. Grâce à des permanences assurées par l’association, il te permet de réparer toi-même ton vélo, avec l’aide de spécialistes qui te donneront des conseils.

Tu peux aussi devenir membre de l’association, ou contribuer aux permanences.

Site de la Rustination


Enfin, tu peux y trouver des vélos remis à neuf par des membres de l’association et mis en vente sur le shop.

La Rustination, rue de l’Industrie 47, 1950 Sion

Retrait de l’initiative : notre bilan

2 février 2024

Le comité de l’initiative cantonale « vélo » a décidé de retirer l’initiative en ce début février 2024. Voici pourquoi.

Chronologie d’un succès

Lorsqu’en novembre 2021 nous lancions solennellement la récolte de signatures pour notre initiative cantonale dans une chapelle, les bases légales existantes pour la mobilité douce quotidienne étaient encore très maigres voire inexistantes. Au niveau fédéral, la loi d’application de l’initiative vélo acceptée par la population suisse trois ans plus tôt était en cours d’élaboration au Parlement, alors qu’au niveau cantonal, seule la loi dédiée aux itinéraires de loisirs (LIML) existait.

Ainsi, à défaut de base légale, le Service cantonal de la mobilité bricolait comme il le pouvait; les communes et les projets ne pouvaient être subventionnés, et des partenaires tiers comme PRO VELO n’avaient qu’un rôle consultatif à bien plaire.

Les prémisses législatives de la mobilité douce quotidienne en Valais étaient pourtant déjà formulées au Parlement cantonal en 2019, mais l’absence d’un réel mouvement citoyen se fit ressentir dans l’opinion public et dans l’action politique.

La suite, nous la connaissons. 4’801 signatures déposées moins d’un an après le lancement, et une contribution active de PRO VELO Valais/Wallis en commission de seconde lecture pour renforcer la loi en cours d’élaboration.

Vers l’article « L’HISTOIRE D’UNE INITIATIVE VALAISANNE »

Le réveil populaire

Mais alors, diriez vous, à quoi bon cette initiative ?

Au-delà des jeux politiques, l’initiative cantonale a tout d’abord permis de réaliser que, malgré ce que nous aurions pu croire, la demande pour de vraies pistes cyclables était bel et bien présente en Valais. L’engouement ressenti, les nombreuses personnes engagées dans la récolte de signatures, la diversité des soutiens obtenus – tant d’éléments qui nous ont fait comprendre que nous n’étions plus à contre-courant et que l’opinion public avait changé.

Mix & Remix

Le soutien populaire s’est prolongé bien après le dépôt de l’initiative en novembre 2022. Lors de la conférence table ronde organisée par PRO VELO le 1e février 2024, quelques 160 personnes ont participé à la discussion autour du transfert modal (« comment passer de la voiture au vélo ») et ont visionné le film « Les Roues de l’Avenir » – un record!

L’impact politique

Portée et soutenue par un large éventail de partis politiques et d’ambassadrices et ambassadeurs de renom, l’initiative vélo a aussi permis de poser une roue dans la salle du Grand Conseil. Invités durant l’élaboration de la nouvelle loi sur les transports publics et la mobilité douce quotidienne (LTPMDQuot), les initiants ont su faire passer plusieurs articles, et renforcer d’autres, en faveur de la petite reine.

Propositions défendues par le comité d’initiative en commission de seconde lecture


Bien que de nombreuses politiciennes et de nombreux politiciens considèrent le vélo encore aujourd’hui comme un loisir du dimanche, il est de plus en plus considéré comme un moyen de transport.

La conjoncture favorable

En comparant les propositions émises par le comité d’initiative et la loi résultante, il est aisément perceptible que tous les objectifs souhaités par les initiants n’ont pas été atteints. A priori, nous ne pouvions donc pas nous contenter de cette loi.

Mais entretemps, le Parlement fédéral a élaboré la loi d’application évoquée en introduction, devenue la loi fédérale sur les voies cyclables. Celle-ci est entrée en vigueur le 1e janvier 2023, en même temps que la loi cantonale.

La loi fédérale pose un cadre très clair, en contraignant les cantons d’élaborer un réseau de voies cyclables dans les 5 ans (d’ici 2027) et de l’avoir réalisé dans les 20 ans (d’ici 2042). Cela paraît long, mais nous aurons probablement des pistes cyclables continues avant une autoroute complète dans notre canton.

Le retrait de l’initiative vélo

Le 1e février 2024, le Service de la mobilité du canton a publié la stratégie cantonale de mobilité douce 2040. Une telle stratégie était l’un des objectif de l’initiative vélo. Elle complète la loi cantonale, fixe des critères précis en matière de réseaux cyclables, d’infrastructures et de promotion du vélo.

En particulier, elle établit un objectif de part modale à atteindre pour la mobilité douce en Valais (piétons + vélos) d’ici 2040. En visant les 15%, il est permis d’espérer que nous dépassions notre position actuelle (antépénultième) de part modale de déplacements effectués en mobilité douce, ainsi que la position de lanterne rouge de part modale de déplacements effectués à vélo.

Vers l’article « Part modale : le Valais dernier »

Suite à la publication de cette stratégie, le Comité d’initiative s’est réuni fin janvier pour étudier la suite à donner à l’initiative. L’analyse de la situation permet le constat suivant: la combinaison tripartite loi fédérale – loi cantonale – stratégie cantonale – répond objectivement à toutes les conditions émises par l’initiative vélo.

Stratégie cantonale mobilité douce 2040


Aussi, dans l’éventualité d’un vote populaire et d’une victoire à la clé (ce qui n’est pas forcément acquis), il serait peu probable qu’une meilleure loi soit réalisée par le Grand Conseil.

Ce sont les raisons pour lesquelles le comité d’initiative a décidé à l’unanimité de retirer son initiative.

Communiqué de presse du Comité d’initiative



Dans les médias
Le Nouvelliste, 02.02.2024
RhôneFM, 02.02.2024
Interview – Radio Chablais, 02.02.2024

Et maintenant ?

Non, notre travail n’est pas terminé. D’une part, il conviendra de suivre l’évolution de l’implémentation de ces lois et de la stratégie. PRO VELO Valais/Wallis souhaite jouer un rôle prépondérant dans la réalisation de ces infrastructures cyclables.

D’autre part, il y a encore de multiples efforts à faire :

  • Suivi de l’élaboration des plans sectoriels, regard critique sur leur conception;
  • Participation dans la réalisation, par le biais de mandats octroyés par le canton, ou par des oppositions aux projets non conformes;
  • Travail au niveau communal, notamment sur les règlements communaux des constructions et des zones (RCCZ), dont les exigences pour la mobilité douce sont aujourd’hui largement insuffisantes (notamment en matière de stationnement vélo);
  • Développement de la promotion du vélo, en particulier auprès de la jeune génération;
  • Contribution à l’instauration d’une culture vélo en Valais.

Allez, rejoins-nous!

NOTRE ENGAGEMENT EST BÉNÉVOLE
–
NOTRE IMPACT EST CANTONAL

DEVIENS MEMBRE DE PRO VELO

et tu verras, on est cool!

Part modale : le Valais dernier!

28 décembre 2023

Les derniers chiffres de l’OUVEMA sur les parts modales des déplacements à vélo sont sortis: le Valais est bon dernier ex-aequo avec le canton de Neuchâtel. Notre analyse.

La part modale des déplacements à vélo a augmenté en Suisse


Alors qu’au niveau national la part modale moyenne s’élevait à 6.9% lors du dernier recensement en 2015, elle passe en 2021 à 7.9%. Certes bien loin des 30% aux Pays-Bas, cette augmentation démontre toutefois une tendance positive.

Deux principales explications sont possibles :

  • Les grandes villes ont accentué leur politique de mobilité douce, et ont ainsi un impact marqué sur les chiffres de leurs cantons respectifs. A titre d’exemple, Bâle arrive à 21%, Berne à 19% et Winterthur à 16%;
  • Le Covid a engendré une prise de conscience au niveau politique, de nombreux cantons ont parfait leur stratégie et créé de nouvelles infrastructures. Genève a par exemple profité du confinement pour construire des pistes cyclables temporaires, qui ont ensuite été pérennisées. En Valais, rien (malgré l’appel de PRO VELO).
Exemple de notre appel en 2020 pour des pistes cyclables temporaires


Le Röschtigraben du vélo

Il existe une différence marquante entre la part modale dans les cantons germanophones, qui s’élève à 9.6% et celle en milieu latin qui atteint les 4.2% seulement. Le vélo serait-il un moyen de transport germanique?

Pourtant, quelques villes romandes montrent le bon exemple. La première ville romande du classement est Genève avec 8.4% de part modale vélo, alors que Lausanne montre une belle progression pour s’élever à 4.4% (0.8% en 2010).

Le Valais, lanterne rouge

Certes, le Valais est habitué à être parmi les derniers: football, construction d’autoroutes ou encore compétitivité économique, il y en a pour tous les goûts.

La mobilité douce quotidienne ne fait malheureusement pas exception: la part modale des déplacements effectués à vélo dans notre canton s’élève à un décevant 2.6%, ce qui nous positionne en dernière position du classement, ex-aequo avec Neuchâtel.

Bien qu’une comparaison entre cantons semble difficile au vu des différentes physionomies, il est flagrant de constater que des cantons dont la topographie est similaire à celle du Valais présentent une part modale bien plus élevée, comme Uri (10.1%) ou les Grisons (8.8%).

L’explication : la volonté politique

La seule explication à ce score médiocre est l’absence de volonté politique en Valais. Bien que certaines communes aient pris conscience de l’importance de la mobilité douce, celle-ci demeure toutefois perçue par beaucoup de décideurs politiques comme un loisir du dimanche, entre la messe et l’apéro.

Plus qu’une question de langue ou de culture, il s’agit d’une question de volonté politique

Patrick Rérat, professeur à l’UNIL et co-directeur de l’OUVEMA

Ce Röschtigraben reflète ainsi une action politique bien plus marquée en faveur du vélo dans les cantons germanophones : la réduction de la place de la voiture a vu le jour de manière plus précoce, au profit d’infrastructures sûres et continues.

Et cela porte ses fruits. A Bâle-Ville, plus de trajets s’effectuent à vélo qu’en voiture, ce qui démontre la légitimité de la petite reine dans les déplacements quotidiens.

Etre derniers n’est pas une fatalité!

Le constat est dur, mais l’avenir peut prendre une voie bien différente. Contrairement à certains préjugés, une « culture vélo » se crée, se forge, se façonne.

Amsterdam, dans les années ’70

Les villes qui sont aujourd’hui cyclophiles (comme Amsterdam, Utrecht, Copenhague ou encore Paris) le sont uniquement grâce à des politiques de mobilité courageuses et des stratégies ambitieuses qui ont été adoptées dans le passé.

Ces villes aux parts modales vélo élevées étaient ainsi à l’époque tout autant motorisées que nos villes valaisannes aujourd’hui. Un changement de mentalité s’impose à présent en Valais pour combler ce retard.

L’appel de PRO VELO Valais/Wallis

Fort de ce constat, et dans le cadre des délibérations sur le budget cantonal en décembre 2023, PRO VELO Valais/Wallis a contacté les 130 députés et 130 suppléants du Grand Conseil pour les inviter à ne pas diminuer le budget dédié aux routes.

Car oui, le constat est alarmant: les moyens dévolus aux investissements vont passer de 114 millions en 2023 à 52 millions à partir de 2025, date à laquelle justement des moyens seraient nécessaires pour la mobilité douce.

Lire la lettre à la députation
Lire le communiqué de presse


La stratégie cantonale tant attendue, demandée explicitement par notre initiative cantonale, risque ainsi de ne jamais voir le jour, faute de moyens.

En période de vache maigre, ne serait-il pas judicieux d’investir dans la mobilité douce? Promouvoir le vélo permet des économies substantielles, qu’elles soient directes (coûts des infrastructures) ou indirectes (coûts de la santé), par rapport un système de transport misant tout sur le motorisé.

Les derniers seront les premiers… osons la maxime, et continuons de pousser!

Dans les médias

Radio Chablais, mercredi 10.01.2024

Biketowork: une augmentation de 68% en Valais!

8 août 2023

L’action Biketowork est l’une des actions de promotion du vélo coordonnée par PRO VELO Suisse. Durant les mois de mai et juin, près de 98’000.- cyclistes représentant 3’249 entreprises ont enfourché leur vélo pour se rendre à leur travail. Pres de 28 millions de kilomètres ont été parcourus, ce qui constitue un nouveau record national.

En Valais, 69 entreprises ont participé à l’action, contre 41 en 2022, soit une augmentation de 68%. Cette augmentation notable est en partie le fruit d’une prise de contact de nombreuses entreprises au début du printemps par PRO VELO Valais/Wallis. Mais elle résulte aussi d’un intérêt croissant pour le vélo comme moyen de transport.  

PRO VELO Valais/Wallis continue d’œuvrer pour des conditions cadres dans les PME et grandes entreprises valaisannes. La pratique du vélo en tant que moyen de transport est une alternative réalisable pour de nombreuses entreprises, mais demeure néanmoins tributaire de plusieurs conditions :

  • des aménagements cyclables bien réalisés par les collectivités publiques ;
  • des vestiaires pour les salariées et salariés des entreprises ;
  • des places de stationnements en suffisance (les minimaux sont définis par les normes VSS, comme résumées ici)
  • une volonté de la direction des entreprises de promouvoir ce mode de déplacement en interne.

Lire dans les médias

https://www.rhonefm.ch/actualites/biketowork-plus-68-de-participation-pour-les-entreprises-valaisannes

https://www.lenouvelliste.ch/valais/valais-les-employes-de-69-entreprises-a-velo-au-travail-1312322

https://www.radiochablais.ch/infos/96482-valais-succes-pour-l-operation-biketowork

Lens : grand succès du vélo électrique !

18 juillet 2023


« Venez tester le vélo électrique ! », telle était la devise de la journée mobilité organisée le 15 mai dernier à Lens. Le récit.

A contresens – mais dans la bonne direction!

Tout a commencé le 1e décembre 2022, lorsqu’un collectif de citoyens passionnés de mobilité, dont certains sont membres de PRO VELO Valais/Wallis, a organisé une conférence sur la mobilité durable à Lens. Avec le soutien de l’association des communes de Crans Montana, ce collectif, devenu ensuite le « groupe de travail mobilité de la commune de Lens », a réuni pas moins de 120 personnes au Cinécran pour assister au film A Contresens de Marc Müller sur la voiture électrique.

Fort de ce grand succès, le groupe décidait alors de passer à la vitesse supérieure. La diffusion d’un questionnaire sur le vélo électrique durant cette soirée de décembre a permis de révéler un grand intérêt des citoyens à essayer un vélo électrique pour se déplacer au quotidien. Se fondant sur ce constat, le groupe de travail préparait un nouvel événement qui allait voir le jour au printemps 2023.

Vélo électrique : essayer, c’est l’adopter !

Après plusieurs semaines d’organisation, la journée mobilité eut lieu le 13 mai. Le but: mettre à disposition des concitoyens des vélos électriques pour les inciter à tester ce moyen de transport dans leurs déplacements professionnels et de loisir durant la belle saison.

Le rendez-vous était donné à Saint-Léonard le matin pour la prise en main des vélos. Après un déplacement à Lens à vélo, un repas commun a été partagé, suivi d’un cours de sensibilisation l’après-midi. L’événement fut un encore succès, avec la participation d’une quarantaine de citoyens de Lens !

Au terme de cette journée, les participants se sont engagés à effectuer un maximum de déplacements durant 1 mois entre leur domicile et leur lieu de travail. Au total, 9’000 km ont finalement été parcourus!

Photos: groupe de travail mobilité de la commune de Lens

La suite?

Après ces deux événements couronnés de succès, le constat ne peut être plus clair: la mobilité électrique est un atout majeur pour se déplacer entre le Haut-Plateau et la plaine !

Le groupe de travail a désormais pris son envol et se réjouit de développer encore la mobilité douce quotidienne électrique dans la région de Lens et Crans Montana.

Participer à un groupe de travail
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